mercredi 23 juillet 2008

NU, AU SOLEIL


Je n'ai jamais voulu vendre ce tableau jusqu'ici ; un des très, très rares que j'aie gardés.
1995.
Je l'avais conservé parce que c'était la première fois qu'il me semblait m'etre approché d'un réel effet de soleil et de chaleur, comme j'admirais-et admire toujours-chez Joaquin Sorolla.
J'en suis encore fier.(et ceux qui me connaissent savent que je ne dis pas cà souvent!)
Étrange comme certains tableaux, des fois, semblent empruntés au futur...

1 commentaire:

Marina Kowalsky a dit...

Pis celle-là, personne l'aime?
La lumière, la bouteille.
Et ce dos. Que dire de cette taille: on dirait un tunnel..