je veux bin croire que j'ai aucune idée de ce qu'est le talent mais faites-en votre guide, votre mentor pas votre demotivation voyons donc bout d'cri... dirais brozeur
bon, et re bon. C'est à croire que vos pirouettes linguistiques m'embrouillent le décodeur, ca ne pouvait pas être aussi simple. Mais j'ai quand même eu un rictus à la façon qu'aurait eu l'expression de Moi-Même de prétendre cèder la place aux grands de cet art. Somme toute il a le doigt de s'arrêter.
Travail très original ! Je pense que vous vous amusez comme des fous. C'est bon de voltiger au-dessus du réel. Continuez zainsi, z'est tordant et tordu, tor dieu. Je rigole! Pas mal pour une vieille qui a déjà vu les chars. Margot 9 sept 2008
Margot a été mon prof de français au secondaire. Elle et mon cher M.Beerens ont été mes profs préférés. Elle était dans ce temps-là "Mme Beaudoin". Nous avons repris contact il y a quelques années, j'avais reconnu son nom dans une liste de destinataires d'un courriel. Marguerite Dezainde a publié un recueil de poèmes intitulé "Poèmes de vie", dont vous pouvez lire quelques extraits à cette adresse: http://chezgaetaneetclaude.com/margdez.htm Je me doutais qu'elle aussi apprécierait ce blogue!
Dans un de mes poèmes favoris où elle raconte sa rencontre avec Charlotte, la petite chatte blessée, elle dit:" Le temps qu'il faut pour les apprivoiser mesure souvent la profondeur de leurs blessures"...et "Charlotte, ma petite chatte, tu m'apprends, à ta manière, ce qu'il faut de douceur pour toucher la fragilité d'un coeur meurtri." Non mais c'tu assez beau!!! Merci Margot.
11 commentaires:
J'ai nettoyé et rangé mes pinceaux...
Moi-même
Amen, Brother...!
Ya rien d'autre à dire. Point.
je veux bin croire que j'ai aucune idée de ce qu'est le talent mais faites-en votre guide, votre mentor pas votre demotivation voyons donc bout d'cri... dirais brozeur
Vous etes enduits d'erreur cher Brozeur!; "Moi-meme" a rangé ses pinceaux parce qu'il va se faire opérer à la main!
Et pour ma part; il EST mon mentor!
Sinon j'aurais abandonné depuis longtemps!
Mais votre sollicitude me touche...
bon, et re bon. C'est à croire que vos pirouettes linguistiques m'embrouillent le décodeur, ca ne pouvait pas être aussi simple. Mais j'ai quand même eu un rictus à la façon qu'aurait eu l'expression de Moi-Même de prétendre cèder la place aux grands de cet art. Somme toute il a le doigt de s'arrêter.
Mon bien cher frère; la chose portait effectivement à confusion!
N'ajustez pas votre décodeur!
Le doigt de s'arreter!!!
Jé failli la manquer!!!
Excellent!
Travail très original !
Je pense que vous vous amusez comme des fous. C'est bon de voltiger au-dessus du réel.
Continuez zainsi, z'est tordant et tordu, tor dieu.
Je rigole!
Pas mal pour une vieille qui a déjà vu les chars.
Margot
9 sept 2008
Je sais que tu n'es plus là...
Je sais que je n'y suis pas,
Je sais que je ne l'ai pas...
Et je sais, que tu t'en va ?
Je sais que tu n'y seras pas...
Et je sais que rien ne sert de le dire...
Je le sais... je le pense... et je le comprends…
Je comprends, je pense et je sais...
Que le temps ne doit pas se faire bousculer,
Qu'il ne faut pas seulement prendre le temps de penser à soi…
Mais aussi et surtout, prendre le temps,
De le vivre avec toi...
Je le sais...
À bientôt !
Qui est Margot?
C'est beau cà: voltiger au-dessus du réel...
Et qui est Anonyme "à bientot"?
Mettre des mots au monde c'est bien; les baptiser de son nom c'est en etre fier!
Jean-Louis Chicken Joe Courteau
Margot a été mon prof de français au secondaire. Elle et mon cher M.Beerens ont été mes profs préférés. Elle était dans ce temps-là "Mme Beaudoin". Nous avons repris contact il y a quelques années, j'avais reconnu son nom dans une liste de destinataires d'un courriel.
Marguerite Dezainde a publié un recueil de poèmes intitulé "Poèmes de vie", dont vous pouvez lire quelques extraits à cette adresse: http://chezgaetaneetclaude.com/margdez.htm
Je me doutais qu'elle aussi apprécierait ce blogue!
Dans un de mes poèmes favoris où elle raconte sa rencontre avec Charlotte, la petite chatte blessée, elle dit:" Le temps qu'il faut pour les apprivoiser mesure souvent la profondeur de leurs blessures"...et "Charlotte, ma petite chatte, tu m'apprends, à ta manière, ce qu'il faut de douceur pour toucher la fragilité d'un coeur meurtri."
Non mais c'tu assez beau!!!
Merci Margot.
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