Au dessus de l'épave du Finca, en me balancant doucement 5 mètres sous la surface, un banc de carangues vient me voir puis redescend vers le fond, vers leur bateau alors que j'attends le mien.
Mais une d'elles, que je baptise Jack puisque c'est leur nom anglais, reste avec moi et fixe la surface, intriguée. Et je m'imagine en souriant lui proposant de lui faire visiter mon monde puisqu'elle m'acceuille dans le sien.
Portrait d'un bon compagnon de plongée!
4 commentaires:
Tes scènes de marines sont magnifiques Jean-Louis.Je n'ai jamais fait de plongée et pourtant j'ai l'impression que j'y suis quand je regarde tes oeuvres. Merci de me permettre de voyager de cette façon. Bravo pour ce grand talent
Solange
Merci Solange.
Je suis assez content de "Jack", et s'il peut en se montrant si curieux d'un monde qui lui est inconnu inspirer ceux qui sont étrangers au sien à le visiter; alors tant mieux!
Visiter des mondes inconnus, en être curieux et vouloir en savoir plus.
Partager le sien et acceuillir ceux qui y sont étrangés...
Voilà une bien belle philosophie!
Eila
Jack aurrait sans doute peur d'avoir trop d'air dans notre monde moi j'aurrais peur d'en manquer en visitant le sien ....dommage que jaie si peur de l'eau .
Bonheur que tu m'y amène sans crainte a travers ton Art merçi !
Carolle
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