Dans "Benjamin Button", le capitaine du remorqueur sur lequel s'embarque Brad Pitt fait un portrait magnifique et surréaliste du colibri, saoul dans un bar miteux.
Il s'émerveille entre autres du fait que les ailes de l'oiseau décrivent un huit couché lorsqu'il fait du sur-place et qu'il s'agit là du symbole de l'infini...
Quelle scène!...
Celui-ci vient s'abreuver à ma fenetre aux 20 minutes, et trouve qu'il fait froid ces temps-ci.
Il est cubain, et s'apelle Zunzun.
Et maitrise l'infini.
2 commentaires:
Et vous maitrisez assez bien l'kodak! Quelle beauté!
Minipède
Et son ami ZINZIN de Wentworth de l'honnorer, belle folie!
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