Il y en a plein les champs inondés, plein l'air du lever, revenues d'où il y a moins d'hiver, les grandes et nobles oies voyageuses.
Elles me rappellent chaque fois des heures heureuses, passées aux marais et aux labours, avec des frères chasseurs, et ma meilleure amie Sarcelle, la plus digne chasseuse du groupe.
Les parfums des feuilles mortes, de la poudre à cartouche, de la sauce au Jack...
Mais ce qu'elles sont toujours et avant tout pour moi, c'est l'invitation au voyage...
4 commentaires:
OK, les gens dirons ce qu'ils voudront mais moi…ça cette bernache, mais surtout la composition des noirs et des blancs….
analogie, comparable, rapprochement whatever you want to kall it sti…
au Riopelle, la serie Iceberg… je capote…
Je sais qui l'as peint, c'est du Courteau tout craché…mais que du grand Courteau…dans un 6 x 8 en plus
tellement hors de ce monde, avec les grands
Louis 100.00
ah oui…pi scuzé le français magané de la première note… écris trop vite. pesé su'l piton trop vite aussi
Merci Louis!
Ce qui m'a interessé dans ça, c'est effectivement le design. Une simplicité et un résumé, comme on en trouverait dans les dessins préhistoriques, ou dans le stylisme amérindien...
Adjugé à Louis!
Merci encore une fois!
Publier un commentaire