Impossible de regarder dehors, quand elles ne cessent de bouger, les fenêtres. Et même dehors arrive à peine à voir dedans.
Dans le ciel, des milliers de points de vue se rassemblent en immenses voiliers, mêlés de quelques regards et d'un coup d'oeil ou deux.
La grande migration va s'amorcer.
Et il faudra bien s'habituer, pour un temps, à n'y rien voir que les rapports de la mémoire...
L'ennui c'est qu'on ne peut toujours la croire
Jasances et médisances
Il fera bientôt noir. Allons ma belle, dormons, délivrance.
2 commentaires:
superbe
100
Louis
Grazie Luigi!
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